Lundi 27 août
Réveil tôt pour moi qui commence à tout laver, y compris la solette. Comme nous avions un vent de ¾ avant, je comprends : le piquet côté mer s’est arraché du sol, la force du vent a fait de même pour le second, et la toile a coulissé jusqu’à l’arrière de la caravane. Seul le troisième piquet a retenu la toile. Ayant l’habitude des coups de vents en Corse, je monte toujours tout avec des élastiques car ce qui n’est pas rigide ne rompt pas. Un fois le tout rincé, je ne constate aucun dégât à part la perte d’un seul piquet (il doit être en orbite autour de la Terre).
Nous passons la suite de la journée à ranger tranquillement en préparant le départ. Le soir, tout est prêt, nous avons dîné et je fais la vaisselle quand Stéphanie apparaît blafarde et affolée en hurlant « la porte de la caravane est cassée, on est coincés ici !!! ». J’avoue qu’à ce moment j’ai pris aussi un coup de massue.
Je rentre en courant au campement et voit la porte par terre et notre ami l’air penaud.
Il m’explique ce qui s’est passé : il a voulu monter dans la caravane mais n’a pas pris la précaution de verrouiller la porte dans la butée. Alors qu’il montait, la porte s’est ouverte à moitié et avec son talon il a soulevé la porte… Qui n’est retombée que dans le gond du bas ! Vous comprendrez la suite: le gond a cassé net.
Il fait nuit noire, et la nuit porte conseil (bon je dis ça maintenant, mais sur le coup je suis parti marcher 25 minutes pour me calmer).
Réveil tôt pour moi qui commence à tout laver, y compris la solette. Comme nous avions un vent de ¾ avant, je comprends : le piquet côté mer s’est arraché du sol, la force du vent a fait de même pour le second, et la toile a coulissé jusqu’à l’arrière de la caravane. Seul le troisième piquet a retenu la toile. Ayant l’habitude des coups de vents en Corse, je monte toujours tout avec des élastiques car ce qui n’est pas rigide ne rompt pas. Un fois le tout rincé, je ne constate aucun dégât à part la perte d’un seul piquet (il doit être en orbite autour de la Terre).
Nous passons la suite de la journée à ranger tranquillement en préparant le départ. Le soir, tout est prêt, nous avons dîné et je fais la vaisselle quand Stéphanie apparaît blafarde et affolée en hurlant « la porte de la caravane est cassée, on est coincés ici !!! ». J’avoue qu’à ce moment j’ai pris aussi un coup de massue.
Je rentre en courant au campement et voit la porte par terre et notre ami l’air penaud.
Il m’explique ce qui s’est passé : il a voulu monter dans la caravane mais n’a pas pris la précaution de verrouiller la porte dans la butée. Alors qu’il montait, la porte s’est ouverte à moitié et avec son talon il a soulevé la porte… Qui n’est retombée que dans le gond du bas ! Vous comprendrez la suite: le gond a cassé net.
Il fait nuit noire, et la nuit porte conseil (bon je dis ça maintenant, mais sur le coup je suis parti marcher 25 minutes pour me calmer).